En 2011 à Oakland une petite entreprise VSCO a été créée, qui a commencé à vendre des presets (des ensembles des paramètres sauvegardés) pour le traitement des photos. Plus tard on a ajouté aux presets une application pour le traitement des photos en portable.
Cinq ans plus tard VSCO est devenu un vrai empire de la photographie bourgeois-bohème : avec des applications, des messages et des médias internes. On parle de l’information importante, que vous devez savoir sur VSCO — en 5 points.
1. VSCO — est les meilleurs filtres pour Instagram
La majorité des photographes mobiles utilisent les filtres de VSCO (aujourd’hui l’application a plus de 20 million des utilisateurs dans le monde entier).
Les filtres de l’application sont de deux types : une douzaine des gratuits et dizaines des payants. Les filtres payants on achète en collections ou les tous ensemble.
De temps en temps les collections des filtres gratuits apparaissent de la part des sponsors. Les sponsors sont les marques de vêtement couture, les hôtels et d’autres entreprises.
Nous conseillons d’acheter tous les filtres payants à la fois. Après ça il faut les examiner attentivement à l’exemple des photos favorites et désactiver les mauvais dans les paramètres. Laissez pour vous au plus 15-20 filtres.
ACG — un filtre cool pour tous les cas, on le prend. P2 — une sépia très dure, on la désactive dans les paramètres.
2. VSCO a son analogue de Instagram
À l’intérieur de l’application des photos se trouve un petit réseau social. VSCO Community — est une méthode de publier ses photos dans le profil et les assembler en collections. On peut regarder les photos dans l’application, pas en web.
L’interface de VSCO est si en vogue, que ce n’est pas bien. Les créateurs l’ont fait tout compliqué. Même le bouton «ОК» a été réinventé, et ils ont mis ◯ en place de ✔ comme d’habitude.
Le réseau social de VSCO — est une chose bizarre. On ne peut pas l’appeler populaire, et il n’y a pas beaucoup de raisons de l’utiliser. Dans la communauté il n’y a pas de j’aimes, de commentaires, des moyens à chercher. Probablement, le service est apparu avec la volonté de créer son propre petit monde pour les bourgeois-bohèmes avec un blackjack et des filtres.
3. L’application VSCO a son propre journal des photos
Quelques fois par mois dans l’entreprise on publie l’histoire en photos: sur les gens, les voyages, on partage les sélections de nouveaux films, on promotionne les utilisateurs actifs.
Malheureusement, dans « le journal » il y a moins des histoires en photos et plus de nouvelles ennuyeuses du service.
4. À part de l’ensemble des filtres VSCO a encore d’autres applications
Elles sont deux. DSCO — est une application gratuite pour la création des GIFs cyclés. Artifact Uprising — est un service pour créer les livres des photos des utilisateurs: de 25 jusque 139 dollar pour la pièce.
5. Comme avant, l’entreprise vend les filtres analogues pour les photographes professionnels
Si vous chargez dans Instagram les photos, prises par une caméra professionnelle, regardez les presets de VSCO pour Photoshop et Lightroom. Le dernier temps on a diminué les prix plus de deux fois: pour un de 8 ensembles des filtres on demande 60 dollars.
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Il semble que on peut sélectionner les deux parties en VSCO : une petite et une grande.
La petite partie — est des filtres utiles pour Instagram. Installez courageusement les applications de VSCO et utilisez-les.
La grande partie — est la communauté, le journal, les activités et les collaborations. Tout ça on peut laisser sans crainte aux journalistes, les start-upers et les métrosexuels.